Marc Dauzat : « la dynamique actuelle va renforcer encore la fondation »

Combien d’entreprises se retrouvent aujourd’hui au sein de la Fondation qui soutient la candidature UNESCO ? Je rappelle que nous étions sept au départ. Il s’agit de Michelin, Rockwool, Limagrain, Volvic, Aubert et Duval, EDF, Echalier. D’autre contributeurs nous ont rejoints et la dynamique actuelle va, je pense, renforcer encore la fondation. Les entreprises citées sont très impliquées sur notre territoire. Comment se réalise le soutien des entreprises à la candidature ? Nous avons contribué à financer des projets, en tout ou partie. On peut citer par exemple la cabane du berger ou le troupeau mobile du lycée de Rochefort-Montagne. On aide à lancer ces opérations qui continueront par la suite. Pour nous, tous les projets sont recevables à partir du moment où ils correspondent au cahier des charges de la fondation. Notre démarche se veut simple : tous les projets sont présélectionnés, ils sont présentés ensuite en séance plénière et débattus. Il y a un vrai débat de fond sur leur intérêt. La fondation les accepte ou les rejette. C’est la règle du jeu.