Du soutien pour l’association Equiterre

[caption id="attachment_221192" align="aligncenter" width="800"] Des étudiants de la Toulouse Business School ont fait une halte à Clermont-Ferrand pour valoriser ce projet © E. Thérond[/caption] A bord de leur véhicule GPL, quatre étudiants de la Toulouse Business School ont entrepris du 19 au 23 février un périple en cinq étapes de Lyon à La Rochelle pour identifier et promouvoir des initiatives locales en matière de développement durable. Ce « Tour des Solutions Alternatives » - décliné dans d’autres régions avec d’autres écoles – a fait une halte à Clermont-Ferrand la semaine dernière, au 3 rue Gauthier de Biauzat. Les membres de l’équipage, Julie Pasquet, Joas Desserre, Nathan Bourgeolet et Nicolas Khorsi-Daroussat, tenaient à donner un coup de projecteur à l’association Equiterre France*, créée à Paris en 2010 mais implantée à Clermont depuis 2014. Cette association a pour mission de promouvoir et de faciliter l’accès à de la consommation responsable, réfléchie et respectueuse de l’humain et de l’environnement. « Notre fonctionnement repose sur trois piliers. Le premier, c’est qu’il existe un ensemble de solutions. Ensuite, c’est que chacun peut agir à son niveau. Enfin, nous rappelons qu’il n’y a pas de solutions « clé en main. » En clair, chacun doit se responsabiliser » souligne Elisa d’Anna, membre-fondateur de l’association. Notons qu’Equiterre recherche des financements et un local dans le centre de Clermont-Ferrand pour créer du lien social et développer ses activités (vente, ateliers, animations, conférences…) Si tout va bien, ce projet devrait aboutir dans le courant de l’année 2018, avec un objectif de création d’emploi à terme. Lancé en 2016 par le Comité Français du Butane et du Propane et le Club des Voitures Ecologiques, le « Tour des Solutions Alternatives » dévoilera ses découvertes locales lors des Assises Nationales Etudiantes du Développement Durable le 5 avril prochain à Toulouse. « Nous parlons également de nos rencontres sur les réseaux sociaux » précise Julie Pasquet. *http://equiterre.eu/