Cournon-d'Auvergne : l'espace Gimel inauguré le 1er avril
À Cournon-d'Auvergne, les travaux d'aménagement et de végétalisation se terminent pour laisser place à un nouvel espace de stationnement en cœur de ville, en remplacement des places accessibles sur l'actuelle place Joseph-Gardet. En 2026, l'offre de 75 places sera maintenue autour de la future place de la République dont le chantier démarre en septembre 2023 pour une durée d'environ deux ans.
51 places en cœur de ville
Situé rue du Gimel, le parking donne accès à 51 places de stationnement dont 2
places réservées pour les personnes à mobilité réduite (PMR) et 2 places pour les véhicules électriques avec l'installation à venir de bornes par Territoire d'Énergie 63 (ex-SIEG).
Afin de favoriser la rotation des véhicules aux abords de cette centralité commerciale de la ville, l'espace Gimel a été mis en service en zone bleue pour une durée limitée à 2 heures, du lundi au samedi de 9 heures à 19 heures hors jours fériés.
Un projet végétal
Dans sa conception, réalisée par les cabinets Marcillon Thuilier Architectes et Artelia,
le 100 % goudron laisse place à la végétalisation et autres surfaces plantées et enherbées. À terme, l'objectif de cet aménagement est de masquer visuellement la présence des véhicules.
Arbres, arbustes dont de nombreux fruitiers, plantes vivaces ou encore vignes centenaires préservées agrémenteront l'espace et créeront des îlots de fraîcheur. Le puits et le bac en pierre de Volvic ont été conservés et rénovés, les pierres issues de la déconstruction sont réemployées sur site et les murs de clôture reconstitués en lien avec les préconisations de l'Architecte des Bâtiments de France.
Travaux et circulation
Les travaux, réalisés par le pôle de proximité de Clermont Auvergne Métropole, ont
duré 4 mois pour laisser le temps aux plantations de s'adapter à leur nouveau milieu avec l'arrivée du printemps, notamment pour les revêtements enherbés.
Le parking est accessible depuis la place Joseph-Gardet en tournant à droite sur la rue du Gimel qui conserve un sens unique montant, comme c'est le cas aujourd'hui.
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